Une faveur sans saveur est un don sans valeur.
Nul ne fait de faveur aux autres, qui donne dans le sens de l’espoir de s’avantager ce faisant.
La valeur réelle du don aux autres tient de la largesse du geste envers eux, et non de la retombée pour soi de ses intentions.
Or, le milieu du travail gagnerait immensément à compter plus de désintéressement dans les relations aux autres, au lieu de ne compter que des calculs pour soi de ses contributions à l’entreprise.
Ce qui est sans saveur est sans valeur.
Ce que confirme tant et plus de faits et gestes dans l’entreprise dépourvue d’une culture de la confiance dans l’autre.
Et vous, qu’en pensez-vous ?
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