Le rendement est le produit des deux facteurs, que sont la marge et la vélocité.
Plus l’inventaire tourne, plus les charges fixes diminuent et plus la marge augmente relativement. Donc, plus le rendement, sur les opérations courantes, s’accroît.
Or, le marché n’est pas un exercice de « comptabilité protégée ». Les produits d’offre varient, comme leurs prix et leur qualité.
La réduction des prix, pour ajouter à la capacité de concurrence de l’entreprise, fait augmenter les ventes. Mais elle fait chuter le rendement, en diminuant la marge, bien que la vélocité ait augmentée.
Le maintien de l’équilibre financier n’est pas simple, d’autant qu’il impose de « dominer le marché » et de « maîtriser ses modes, méthodes et pratiques de gestion ».
La valeur du leader-secteur tient, pour l’essentiel, de sa supériorité à gérer la complexité et l’incertitude du marché et de son résultat d’exercice. Le budget n’est pas une garantie de résultat, mais une projection d’attente de gestion.
Ceux et celles qui ont toutes les réponses aux questions que cela suppose ont « raison »… après le fait. Or, les décisions se prennent avant confirmation des résultats-marché et de la performance-gestion.
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