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Travailler pour vivre, vivre pour travailler

Myrdal (1932) a noté, qu’on dit que la fin de la production c’est la consommation. Donc, il faut travailler pour vivre.

Il a ajouté, que les gens aisés tiraient plus de satisfaction à la production qu’à la consommation. En somme, qu’ils vivaient pour travailler. Et il a conclu, que beaucoup de
gens définiraient un système social idéal suivant le deuxième modèle de vie susdit.

Soit ! le revenu n’est pas synonyme de bonheur. Mais son insuffisance crée de l’insatisfaction. Ventre affamé n’a pas d’oreilles, veut le dicton.

Bien des économistes, depuis Marshall (1890) ont reconnu, que le travail était central dans la vie de la population active.

Or, le taux de satisfaction au travail, que traduit en grande partie l’engagement à la tâche (échelle mondiale : 15 %, 2018), est dramatiquement faible.

Les raisons sont multiples. Mais retenons, que les dirigeants trouvent matière à plus grande satisfaction au travail que les autres. L’accès direct à l’information stratégique, l’autonomie de décisions et la reconnaissance des apports propres, sans compter le revenu largement supérieur, contribuent à leur propension à vivre pour travailler.

Vous êtes «en haut à droite» ou «en bas à gauche» de l’échelle de satisfaction?

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