La théorie de l’identité propre

THÉORIE DE L’IDENTITÉ PROPRE

Cadre de référence intelligifié qui définit, par la différenciation des savoirs, du savoir-faire et du savoir-être pleinement assumés, appliqués et enrichis au fil de l’activité, la personnalité propre de l’entreprise. On ne parle plus d’importation de concepts d’affaires, adaptés à l’entreprise, mais d’un corps d’idées, d’actions et d’innovations sur les modes, méthodes et pratiques de gestion de l’activité. On parle de ce qui situera l’identité de l’entreprise, dans une niche d’affaires patente. D’un produit de l’activité rendue singulièrement différencié, et donc à plus haute valeur ajoutée pour le client servi. De gestion des processus, qui rationaliseront l’effort sur la tâche assumée, de sorte que le rendement sur la ressource engagée pour l’activité soit optimal. On ne parle plus d’idées, de concepts ou de modèles empruntés, rafistolés tant bien que mal, mais de spécificité d’avoir, d’être et de pouvoir de l’entreprise. On parle d’une philosophie de gestion de l’activité, qui soit unique à l’entreprise. D’une gestion des affaires fondée sur l’intelligence des acteurs-preneurs au résultat de l’activité dans l’entreprise. D’un cadre de référence de soi, comme système économique de production-distribution en biens et services utiles au marché. D’un registre d’économies sur l’effort à rendre, pour que l’entreprise renforce sa base de concurrence dans le marché. D’un régime d’appel, d’usage et de valorisation de l’ensemble des savoirs, du savoir-faire et du savoir-être accessibles dans l’entreprise. En somme, d’une entreprise qui, par ceux et par celles qu’elle mettra à contribution, puisera sa force et sa pertinence de service au marché dans l’intelligence des initiatives d’associés engagés dans le développement de ses affaires plutôt que dans le contrôle avant, pendant ou après des décisions et des actes d’un personnel consigné au travail. D’une théorie de l’appartenance, aussi signifiante que pleine et entière, de l’identité propre. D’une identité propre, qui repose sur l’exercice permanent et universel de l’intelligence à la tâche, comme facteur de différenciation dans les affaires de l’entreprise. L’antithèse d’un fatras de procédures, procédés et processus d’une gestion mesurée de la production-distribution, qui instituent l’uniformité dans le flux du travail au lieu de provoquer l’innovation dans le cours des affaires de l’entreprise. D’un corps d’idées, de volontés et d’innovations matérialisées par l’intelligence des contributions d’un chacun impliqué dans l’actualisation de soi, par le travail, comme dans l’actualisation de l’entreprise, par l’activité. D’une démarche d’intelligification de l’activité, qui ne saurait se concevoir, économiquement comme émotivement, sans une théorie de l’identité propre de l’entreprise. De l’intelligence personnalisée, parce que personnifiée à travers l’accomplissement du travail dévolu à chacun. De l’intelligence qui affermira l’identité de soi de l’entreprise. De l’intelligence qui n’advient jamais aussi avantageusement, qu’à compter d’un cadre de référence de gestion de l’activité qui optimise la singularité d’être de l’entreprise. De l’intelligence de la différenciation dans le marché, pour l’entreprise qui se respecte et qui respecte les acteurs-preneurs à son devenir. De l’intelligence qui part et qui revient aux acteurs-preneurs de son régime de production-distribution en biens et services. De l’intelligence qui valorise les initiatives (innovations), en provenance des acteurs-preneurs immédiats à l’activité de l’entreprise. Et pour boucler la boucle, on dira que l’intelligence globale dans la conduite des affaires de l’entreprise, c’est la théorie de l’identité propre en concoction, en affirmation et en renouvellement d’initiatives dans le corps entier de décisions et d’actes de l’entreprise.


La théorie de l’identité propre est un cadre de référence intelligifié qui définit, par la différenciation des savoirs, du savoir-faire et du savoir-être pleinement assumés, appliqués et enrichis au fil de l’activité, la personnalité propre de l’entreprise.

THÉORIE DE L’IDENTITÉ PROPRE :

Savoirs : DÉVELOPPER
        Acquis : identifier les savoirs acquis et les gérer selon leur utilité;
        Requis : identifier les savoirs requis et former le personnel en conséquence;
Savoir-faire : AIDER
        Applications : appliquer l’ensemble du savoir-faire courant aux projets de l’entreprise et ajouter les savoirs requis pour la continuation de son activité;
         Transfert : assurer le transfert des savoirs acquis en fonction des besoins courants et futurs de l’entreprise;
Savoir-être : ENGAGER
        Observation : étudier l’impact des politiques sur le comportement à la tâche;
        Accompagnement : prévoir un coaching, mentorat et tutorat au personnel.