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Sous-performantes ou sous-managées ?

La sous-performance ne tient pas aux indicateurs inappropriés (bien qu’ils soient souvent impropres et trop nombreux), mais au sous-management (non pas entendu en nombre mais en valeur). C’est la qualité de la gestion, qui fait lamentablement défaut dans l’entreprise-type. Les modes, méthodes et pratiques d’activité et d’affaires sont surannés, même si souvent les technologies (pour copier la concurrence) sont du tout dernier cri. L’intelligence humaine, en quelque sorte, n’y est pas, même si l’intelligence artificielle y est. Or, ce ne sont pas les technologies qu’il faut blâmer, mais l’indigence managériale de la direction. Le personnel doit composer avec les données de gestion de la direction. Ainsi, donc, pour performer (exceller), l’entreprise first-in-class adopte une théorie de l’identité propre. Elle intelligifie son activité et ses affaires, en humanisant sa fin-marché (celle de servir/satisfaire le client). Ce qui ajoute à la confiance interne (personnel) et externe (client). Elle s’actualise, et se réalise, comme espace-temps d’affirmation d’humains en quête de confirmation d’êtres évolués.

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