Michael I. Mauboussin (Columbia U.) cite une recherche qui établit, que la chance a joué dans 88 % des cas d’entreprise. En principe, les entreprises sont en concurrence les unes avec les autres. Pourtant, elles présentent de plus en plus le même profil de gestion et d’organisation. L’inconscience, l’ineptie et l’absurdité expliquent trop souvent leurs résultats d’exercice. Elles ne se posent pas tant les bonnes questions, au bon moment, qu’elles ne se contentent de suivre le mouvement général. Elles s’épargneraient bien des maladresses, des bévues et des bourdes, si elles cessaient de se « répéter » les unes les autres. C’est un tort d’imaginer que le benchmarking les rendra plus concurrentielles. Des modes, méthodes et pratiques de gestion à l’identique, et qui plus est rarement remis en cause, n’en feront pas des phares de marché. Étrangement, chacune insiste sur le problem-solving, comme fondement aux bonnes pratiques managériales. Le malheur, c’est que personne n’invoque l’importance de poser les bonnes questions. Or, rien ne sert de bien faire… la mauvaise chose !
(La médiocrité prévaut en matière de concurrence d’entreprise – Horace Secrist, 1933).
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