Tout le monde veut communiquer avec les autres, ce qu’il est, ce qu’il pense, ce qu’il espère et ce qu’il prévoit.

C’est la compulsion informationnelle du temps.

Par ailleurs, rares sont les personnes qui veulent départager le risque, l’effort et les retombées en entreprise.

C’est la répulsion communicationnelle du temps.

En somme, chacun voudrait encaisser, et nul ne voudrait décaisser.

Se servir des autres, sans être au service des autres.

Or, l’entreprise, comme espace-temps d’actualisation d’un chacun, suppose un partage de tout ce qui accommodera le plus grand nombre.

L’entreprise est une médaille à deux avers : 1) son point de vue; 2) celui des autres.

Dès qu’elle présente un revers, elle cesse d’être de réalisation conjointe pour devenir d’intérêt personnel.

Le coût de l’entreprise, et donc de l’accomplissement de soi pour tous, c’est l’équité de traitement d’un chacun envers les autres.

Or, à l’ère des médias sociaux, on dialogue moins qu’on ne monologue. Tout le monde parle, et personne n’écoute.

Pourtant, « l’entre-prise » suppose une action en tandem de volontés d’être, d’avoir et d’agir. Vous en êtes ???

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Une trame d’idées fondées sur le précepte du « management de l’autrement ».