En théorie des jeux, la rationalité et l’émotivité se font face.
Les échanges convient les partenaires au rejet ou à la coopération avec l’autre.
La répétition des décisions (actes) entraîne un effet positif ou négatif sur la réaction du vis-à-vis.
L’équilibre de Nash correspond à une situation où chaque intervenant prévoit correctement le choix des autres, et maximise ainsi son gain.
En entreprise, où l’objet de l’exercice est l’optimisation du résultat d’opération, on devrait assister à une étroite coopération entre direction et personnel. L’abaissement des charges d’exploitation en résultant augmentera d’autant le profit en découlant.
Ce qui veut dire, que la raison et les émotions devraient se rejoindre.
Or, le choix de Monsieur R (dirigeant) est plus souvent qu’autrement dissonant avec celui de Monsieur É (personnel). L’un veut du profit (rationalité), l’autre de l’actualisation de soi (émotivité).
Comme l’engagement à la tâche passe d’abord par les émotions, pour que le profit soit de l’exercice, la raison devrait imposer que le personnel soit satisfait au travail en premier.
Une équation « rationnelle», que la majorité des dirigeants estiment trop «émotive».
Dans votre entreprise «on rationalise» ou «émotive» ?
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