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Mieux vaut savoir quoi faire

Le dicton veut que l’on apprenne de ses erreurs. Malheureusement, ce que les erreurs enseignent c’est ce qu’il ne fallait pas faire. Ce qui reste à faire demeure, lui, à découvrir. À vrai dire, mieux vaut savoir quoi faire, que de savoir quoi éviter. En principe, l’entreprise-type devrait avoir appris grandement de ses erreurs, parce qu’elle est en échec plus souvent qu’à son tour. De fait, elle ne sait toujours pas quoi faire, plus et mieux que les autres. Elle n’a pas appris de ses erreurs, parce qu’elle a conclu que son état courant était la norme. Et si elle fait toujours partie des indifférenciées du marché, c’est parce qu’elle est justement « type » et non pas « originale ». Du genre qui n’est pas suffisamment critique de sa situation. Et les comparables de telle engeance forment la masse des entreprises, dans tout secteur. Elles s’imaginent avancer, alors qu’elles font au mieux du sur place et au pire elles régressent. L’économie de la concurrence est un « tapis roulant », sur lequel nulle entreprise ne peut demeurer stable. L’entreprise qui ne fait pas l’effort requis pour avancer, recule. Et le tapis n’est pas sans fin !

Si voulez réussir ? C’est l’entreprise de l’Autrement qu’il vous faut !

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