Le client, comme l’offrant, a « son » objectivité. Aucun d’eux n’a l’objectivité de l’autre.
Non pas que les arguments du client soient nécessairement tous fondés.
Mais il a raison, en ce sens qu’il est le décideur de la transaction le concernant.
L’entreprise a mission de satisfaire le client. C’est la satisfaction (fin) qui crée le client, et non pas l’offre (moyen).
Que l’offrant estime que le client « voit mal », « pense mal », « croit mal », « désire mal » ou « attend mal » ne change rien au fait qu’il décide seul de la transaction. Cela indique, que l’offre n’est transaction, que si le client en décide.
La transaction scelle le marché offrant-requérant. D’ailleurs, elle crée le client. Et remplit, ce faisant, la mission implicite de l’entreprise. En ce sens, c’est le client qui « a raison ».
Et la « raison du client » n’a pas à être « celle de l’offrant ». Mais l’offre (moyen) n’en demeure pas moins l’instrument qui scelle le marché, dès lors qu’elle engendre la satisfaction (fin) du client.
L’entreprise n’a pas à solliciter n’importe quel client. On doit supposer, qu’elle créera le bon client. Mais quel que soit le client, qui n’existera que s’il y a transaction complétée, celui-là «aura raison».
Likez, commentez, partagez.
Lisez les Livres suggérés sous l’onglet OUVRAGES du présent site ?
Vous y trouverez des idées pas comme les autres.
Une trame d’idées fondées sur le précepte du « management de l’autrement ».