Gates et Jobs étaient des « drop outs ». McCartney et Lennon n’avaient aucune formation en musique. Vinci était un autodidacte. Churchill et Hemingway n’avait aucune créance universitaire. Wright et Le Corbusier n’avaient aucune reconnaissance officielle en architecture.

Tous ont été d’exceptionnels créateurs, dans leur domaine.

Jobs refusait d’être « limité par la pensée des autres ».

Churchill « voyait tout sous un soleil nouveau ».

Chacun a connu des échecs, des temps morts, des périodes de rejet par les autres. Rarement, si ce fut le cas, d’assèchement intellectuel.

Ils ont eu une « cause ». Un motif (mobile) d’action. Une conviction les animait. Une vision les guidait. Ils ont moins eu une volonté d’affirmation, qu’une intention de contribution.

Ils ont eu l’audace de contrevenir aux idées reçues, celles partagées par l’ensemble des conformistes du jour. Ils ont bousculé les conventions. Ils ont repoussé les limites du réel.

Ils ont eu la constance et le courage à fleur d’essai, plus que la redite et la réplique à fleur d’idée.

Ils ont créé. Inventé. Innové. Prouvé, que le monde pouvait évoluer. Savaient changer. Voulaient être plus et mieux.

Vous « innovez » ou « replâtrez » ?

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Riche collection d’ouvrages dans la foulée du « management de l’autrement ».