Les motifs d'adhésion

LE PROGRAMME DE RENFORCEMENT DE L’ENGAGEMENT AU TRAVAIL DANS L’ENTREPRISE (les motifs d’adhésion au programme)

Le programme de renforcement de l’engagement au travail, de la part de l’ensemble du personnel de l’entreprise, a été défini comme une avenue de réforme du mindset global des acteurs-preneurs directs à l’activité et aux affaires de l’entreprise.

Puisque nulle entreprise ne souscrira à quelque programme que ce soit, à cet égard ou à d’autres, sans avoir de motifs sérieux de remise en cause de sa condition courante, voici une très longue liste de résultats de recherche, lesquels démontrent que la vaste majorité des entreprises présentent des carences majeures en matière de gestion de tout ce qui touche de près ou de loin aux facteurs justifiant d’une performance supérieure sur l’activité et les affaires.

Le succès de l’entreprise, en termes de valeur économique accrue, passe d’abord par celui de la gestion des valeurs de partage qui assurent le rendement optimal par le personnel sur les ressources qu’elle engagera en vue d’accomplir son activité et ses affaires.

L’entreprise gagnante, en termes de classement-marché, induit, assure à son monde un contexte du travail plus valorisant et des conditions générales d’exécution de la tâche plus stimulantes. Sa fiche est nettement supérieure, au chapitre du leadership réparti qu’on y retrouve dans l’ensemble de sa structure interne d’organisation.

Or, à l’échelle mondiale, des recherches abondantes auprès des entreprises ont démontré, que le leadership y était en crise. Et l’on doit comprendre, que le leadership n’est pas associé au rang des personnes dans la hiérarchie des postes en entreprise. Il est lié à la capacité d’influencer son entourage immédiat, par les personnes. Et s’il est réparti dans toute la structure d’accomplissement de l’activité et des affaires de l’entreprise, alors il participera, sur le cycle de vie entier de cette dernière, au relèvement sensible de sa valeur économique totale.

Le programme proposé, qui s’étale sur 3 ans, vise à corriger l’état de déficience de l’entreprise, en matière de gestion des valeurs propices à l’augmentation sensible du taux d’engagement des acteurs-preneurs à son activité et à ses affaires. De sorte qu’elle se classe dans le premier décile de son secteur. Là où se situe l’entreprise first-in-class, de même que les 9 % des vraies performantes de son secteur de concurrence.

L’effet Dunning-Kruger fait, que la masse des entreprises se classent machinalement dans le premier décile de leur secteur d’appartenance. Ce qui est un non-sens. Et si la distribution statistique fait que 91 % des entreprises sont non performantes dans tout secteur donné, cela doit bien comprendre plusieurs entreprises. De toute manière, comme il n’y a pas de seuil maximal de rendement sur quelque activité ou affaires que ce soit, il y aura toujours place au relèvement de la performance globale de toute entreprise.