Keynes a dit : « les idées des économistes et des politiciens philosophes, quand elles sont justes et quand elles sont fausses, sont plus puissantes qu’on ne le croit d’ordinaire. En fait, le monde est régi par les idées et par peu d’autre chose. Les gens pratiques, qui se croient exempts d’influences intellectuelles, sont généralement les esclaves de quelque économiste défunt ».
En entreprise, deux idées s’opposent : 1) la gestion du profit ; 2) l’actualisation des personnes.
L’approche « profit » fait mesurer ad nauseam l’activité et les affaires. Or, le rendement stagne.
L’approche « actualisation de soi » fait largement défaut.
Pourtant, la performance au travail (productivité) dépend de deux variables : a) les habiletés techniques ; b) l’état d’esprit à la tâche. Les premières sont mécanistes (statiques). Le deuxième est organique (dynamique).
Et c’est l’état d’esprit qui multiplie le rendement au travail.
Même la personne la plus compétente, qui n’aime pas ce qu’elle fait, produira moins qu’une autre moins compétente, mais dédiée à la tâche.
Ce n’est pas une question de logique sociale, c’est de pure logique productive.
Likez, commentez, partagez.
Lisez les Livres suggérés sous l’onglet OUVRAGES du présent site ?
Vous y trouverez des idées pas comme les autres.
Une trame d’idées fondées sur le précepte du « management de l’autrement ».