Il existe bien des modèles, pour définir les étapes d’un projet.
Le présent modèle (inspiré de Goldsmith, 2007) propose de décomposer la démarche de gestion d’un projet en périodes successives : 1) la viscérale (mal profond d’être, d’avoir ou d’agir de l’entreprise) 2) la virale (engagement vertical, horizontal et latéral envers la résolution d’un problème dans l’entreprise) 3) la vérifiable (temps d’évaluation/amélioration du processus de mise en œuvre et de la solution préconisée) 4) la valorisable (report de l’essentiel réussi de la démarche sur d’autres projets). Le lecteur attentif aura pris conscience, qu’il y avait 8 phases et non pas 7, puisque la dernière période, en fin de compte, est la plus essentielle à la démarche globale, puisqu’elle permet de juger du résultat (en termes d’impact) de la gestion du projet.
L’entreprise est un système de solutions en mouvement, soit une instance en quête de rendement accru sur la réponse au marché que suppose son activité et ses affaires.
L’entreprise est en concurrence avec elle-même, avant de l’être avec ses rivales de marché.
Ce sont ses modes, méthodes et pratiques de gestion qui la rendent efficace et efficiente.
Le profit n’est pas sa fin, mais le moyen de la relance-marché de l’entreprise.
L’intelligence d’affaires est donc dans la flexibilité, l’agilité et l’adaptabilité de l’entreprise.
Jamais dans le résultat qu’elle ne contrôle pas entièrement.
Un projet n’explique pas la gestion de l’entreprise, bien que la culture explique ses projets.
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