Il est quatre niveaux de confiance, bien démarqués, dans l’entreprise :
a) la confiance en soi;
b) la confiance dans les collègues de travail;
c) la confiance dans les supérieurs (superviseurs);
d) la confiance dans l’entreprise (direction).
La confiance en soi devrait soutenir l’édifie complet de la confiance, dans l’armature générale d’exécution de l’activité et des affaires dans l’entreprise. Or, elle n’est pas un passeport sans estampille, dans la circulation quotidienne des rapports entre les personnes qui la présentent.
De fait, la confiance trouve sa voie d’entrée sur le territoire d’activité et d’affaires de l’entreprise, dans la mesure où l’ensemble des personnes répondront de son bien-fondé.
Personne n’agit seul en entreprise.
L’activité et les affaires sont menées par le départage d’enveloppes de travail, distribuées par étapes d’intervention sur les mandats-marché de l’entreprise.
Ce qui supposera une coordination des décisions et des actes qu’entraîneront ceux-là, entre les acteurs-preneurs à l’activité et aux affaires de l’entreprise.
En d’autres mots, la confiance en soi, qui s’exercera un acteur-preneur à la fois, n’aura d’allure qu’en termes de produit de l’activité ou des affaires, et donc en valeur conjuguée du travail accompli à travers l’effort additionné d’un chacun des intervenants sur un même mandat-marché.
(Il s’agit d’un extrait de mon livre sur La confiance dans l’entreprise : Ou l’agir ensemble gagnant.)
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