« Je n’aurais rien accompli, si je n’avais pas fait d’erreurs » (Churchill).
« Déjà essayé. Déjà failli. Peu importe. Essayez de nouveau. Faillez encore. Faillez mieux » (Beckett).
« L’échec est une opportunité de commencer à nouveau, plus intelligemment » (Ford).
Nous vivons dans un monde de « destruction créatrice ». Tout est à refaire, non à reprendre. Le changement est sa
seule constante (Héraclite).
Churchill est tenu pour un grand de l’Histoire. Durant la Seconde Guerre mondiale, il fit l’objet de sérieux doutes. Rhodes publia Churchill : A Study in Failure. Chacune de ses erreurs aurait fait dérailler la carrière de quiconque d’autre. Or, comme l’a rappelé Gardiner « la camomille plus on la foule, plus elle fleurit ».
Les personnes résilientes n’acceptent pas d’être définies par leurs erreurs. Et il n’est pas de pénurie de critiques pour contrer vos efforts dès votre première erreur.
Ce qui singularise les Américains, c’est l’acceptation de l’erreur comme une occasion d’apprendre. S’il est un avantage comparatif, pour les États-Unis, c’est de ne pas tenir l’échec pour une tare culturelle, mais pour un tremplin vers le plus et le mieux.
Chez vous l’erreur «est à l’honneur» ou au «déshonneur»?
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