Chairusmi (2017) rapportait que, dans la NFL, sur 10 ans, 2007/8 à 2016/17, on a relevé 119 040 points (Première demie : 50,7 % ou 60 353 pts — Seconde demie : 49,3 % ou 58 687 pts.

« La dernière minute » de chaque demie a enregistré un plus grand nombre de points, que toute autre minute du match. 7 900 pts en Première, 3 200 pts en Seconde. 11 100 points ont été enregistrés à « la dernière minute », soit 9,3 % du total.

En divisant le total de points par le total de minutes de jeu, on obtient une moyenne de 1 984 pts/minute. Si on retranche les points de chaque dernière minute de demie, la moyenne tombe à 1 861.

Le cumul de la « dernière minute » des 2 demies fera qu’on aura enregistré, en moyenne, 2,98 fois plus de points que durant toute autre minute du jeu (4,25 + 1,72 / 2).

Au travail, se pourrait-il, que ceux qui disent être « plus productifs » à la dernière minute aient raison sur ceux qui prétendent que mieux vaut étaler son effort, pour mieux soutenir la progression de son résultat à la tâche ?

Pour le déterminer, il faudrait savoir quel est le potentiel de production réel de chacun, et le répartir sur l’ensemble du temps d’exécution du mandat.

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Une trame d’idées fondées sur le précepte du « management de l’autrement ».