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Le revers du « deadline »

Le «deadline» n’a pas le même effet tout le temps (Huang et Zhang, 2013).

En négociation de conventions collectives (du travail), il aide souvent à en accélérer l’aboutissement. Ce qui ne suggère pas, que cela résulte toujours en de meilleures conventions (Pinfari, 2011).

Quant au travail de création, il tue généralement la créativité chez qui y est astreint (Amabile, DeLong et Lepper, 1976; Amabile, 1983; Deci et Ryan, 2000).

On doit se fonder sur la recherche, avant d’affirmer que des règles applicables ici auront le même effet là. C’est rarement le cas.

L’hypothèse du gradient d’objectif de Hull a donc ses limites (voir le post d’hier ).

L’entreprise-type ne change pas «une formule gagnante». L’idiotie, c’est de croire, qu’une formule gagnante l’est sur tous les plans, à tous les égards et à tous les coups. Rien n’est gagnant, que ce qui sied au contexte et aux conditions. Et ceux-là, par destination, sinon par définition, sont… changeants.

Au lieu de maintenir modes, méthodes et pratiques de gestion, on devrait améliorer leur rendement en les changeant, en vue d’agir sur l’activité et les affaires de l’entreprise quand et comme il conviendra alors.

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