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Le paradoxe de la coordination

Page (2018) rappelle, que si la coordination se fait localement, la configuration globale de l’entreprise, elle, sera bigarrée.

D’ordinaire, le travail est assumé étape par étape, département ou fonction. Rarement, est-ce que l’ensemble de l’activité et des affaires de l’entreprise ne sont coordonnées globalement.

Or, l’évaluation de la performance de l’entreprise se fait « machinalement » sur la globalité des opérations.

Le problème, généralement, c’est le management en silo, lequel se pratique bien que les entreprises se défendent bec et ongles d’entretenir une culture en silo. Personne ne prend conscience, que les modes, méthodes et pratiques de gestion diffèrent grandement d’un département (discipline) à l’autre. Ce qui, comme en informatique, fait des systèmes non-intégrés, parce que leurs composantes sont non compatibles.

Les charges d’exploitation s’apprécient en millions (milliards), alors que le changement d’approche en matière de coordination se limiterait à quelques milliers de dollars.

Mais voilà, la direction est trop occupée à diriger, et pas assez présente (mentalement) pour s’intéresser au menu de l’activité et des affaires.

Dans votre entreprise « on micro-coordonne » ou « on macro-désordonne » ?

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