Si chacun s’interrogeait sur ses attitudes et comportements, pour ne pas dire valeurs, sans doute que le milieu du travail serait un espace-temps d’accomplissement de soi plus réussi.
Si les dirigeants s’interrogeaient à cet égard, sans doute que l’intégration des personnes en entreprise serait plus assurée.
Si les uns et les autres apprenaient le sens de la confiance dans l’autres, sans doute que tous accepteraient mieux les remarques des autres et vogueraient vers l’amélioration constante de soi.
Le problème ne vient pas de l’inconscience des autres, mais de l’incompréhension de soi.
Chacun se surestime, et tous sous-estiment les autres. Le réalisme manque lamentablement en entreprise, du défaut des personnes d’admettre leur suffisance et d’enfler leur résistance au partage de l’effort, du risque et des avantages avec les autres.
Or, l’entreprise, pour satisfaire à sa mission implicite d’optimisation de la ressource engagée dans le service-marché, impose la présence, la prestance et le partage d’harmonie d’être, d’avoir et d’agir avec les autres.
S’il faut mesurer du rendement, commençons par jauger ces variables avant de galonner les indices financiers.
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