Le feedback n’est pas un mécanisme de ravalement de la personne, mais un instant de renforcement des comportements positifs de celle-ci.
Ce qui suppose, qu’il sera abordé de manière positive, dans le but d’un accomplissement plus réussi de la tâche.
Du côté de la personne le recevant, il faudra lâcher prise sur le passé et viser l’amélioration du rendement pour l’avenir.
Du côté de la personne le donnant, il faudra dire la vérité.
Non pas sèchement, non plus que mollement, mais en termes décents et positifs.
La supervision n’est pas un moyen d’appesantissement sur le personnel, mais une instance d’aide, de support et de coordination de l’effort en vue d’une contribution supérieure au rendement général du travail que supposera la tâche confiée.
Les deux parties doivent « se commettre » l’une envers l’autre, en termes de quête de rendement conjoint sur l’activité et les affaires de l’entreprise. Et le processus doit être permanent.
Quant aux améliorations, elles ne peuvent être toujours instantanées. Il faut donner du temps au temps, et comprendre que l’humain est faillible. Ce qui n’est pas l’excuse toute trouvée pour justifier l’entêtement à ne pas se réformer.
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