Drucker (1972) affirme, que le développement social et économique est une fonction entrepreneuriale.
De fait, il y a va-et-vient entre l’entreprise et son milieu. L’entreprise puise dans le milieu ses ressources (par extraction) et son dynamisme économique (par osmose).
Le milieu profite de la présence et de la capacité de concurrence de l’entreprise, en emplois, croissance économique et fiscalité.
Or, la société existe, avant que l’entreprise n’investisse. Rares (sauf dans le cas des matières premières naturelles) sont les entreprises, qui investissent en l’absence d’une solide communauté d’implantation où d’abord exercer leur activité.
Porter (1982) signale, que l’entreprise cherchera à asseoir sa base de concurrence à proximité, avant de se lancer dans le commerce international. Ne serait-ce que par le recrutement des compétences requises.
Or, les entreprises mettent de plus en plus en échec les structures communautaires, en exerçant des pressions indues pour s’y implanter. Pire, elles mettent à risque l’environnement, sans compensation aucune avant leur déguerpissement.
Pourtant, sans une communauté d’accueil, il n’est pas d’entreprise possible.
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