Peter F. Drucker (1974) précisait que le “boom du management” (1840-1950) avait fait son temps (ne pas confondre management et technologies). Le temps, plus précisément depuis la fin des années 1980, est désormais à la performance. Les entreprises se sont dotées de techniques (indicateurs de mesure) et de technologies (informatique et robotique), pour “contrôler” leur rendement sur l’activité et les affaires. Malheureusement, leurs modes, méthodes et pratiques de gestion sont demeurés inchangés. En somme, elles auront voulu “contrôler” le résultat de leurs opérations, sans “contrôler” les voies et moyens de leur résultat. Ce qui explique, que la vaste majorité des entreprises s’enlisent dans des avenues de gestion qui ne les avantagent pas en matière de classement-secteur. Or, l’entreprise de l’autrement s’est dotée d’une théorie de l’identité propre, et, au lieu de pratiquer le ‘benchmarking’, a centré son effort sur la personnalisation de sa gestion. Elle n’importe rien. Elle innove. Elle s’actualise. Elle s’humanise. Elle met l’accent sur la fin et non pas que les moyens de son activité.
Lisez plus, lisez mieux, et pensez autrement pour être autrement et performer réellement.
Likez, commentez, partagez.
Lisez les Livres suggérés sous l’onglet OUVRAGES du présent site ?
Vous y trouverez des idées pas comme les autres.
Une trame d’idées fondées sur le précepte du « management de l’autrement ».