L’avenir du changement c’est maintenant qu’il se décide et s’actionne.

Il n’est pas de report du meilleur moment.

L’entreprise n’est pas un ressort, que l’on comprime pour le relaxer ensuite, afin d’aller plus loin.

Elle est une pile qui s’anime d’elle-même, à compter de l’énergie qu’on y injecte.

Le changement suppose deux personnes : 1) celle qui change; 2) celle qui note le changement.

Il n’y a pas de personne qui change les autres. Il n’y a que des personnes qui se changent, pour mieux être utiles.

En somme, personne ne change vraiment pour lui-même, mais pour et avec les autres.

Il demeure pourtant, que l’initiative vient inexorablement de soi.

Or, l’humain, qui est une force de la nature, n’est pas différent de son environnement. Il y est en instance d’évolution.

La régression est une assurance de disparition, comme la progression un signe de vitalité et d’utilité.

Le feedback, en matière de changement de comportement des personnes au travail, s’inscrit donc dans la foulée d’une logique d’amélioration du cadre d’exercice de son utilité dans l’entreprise. Il n’est pas le changement, mais le facteur d’enclenchement du changement positif.

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