Google autorise son personnel à vouer 20 % de son temps à autre chose que sa tâche.

Le personnel peut faire une pause, quand il le désire. L’entreprise a mis à sa disposition des aires de repos. Des restaurants. Le personnel peut prendre 4 semaines additionnelles de vacances non rémunérées.

Résultat : la restauration de l’esprit du personnel entraîne la restauration de l’activité et des affaires de l’entreprise.

De fait, 50 % des nouveaux produits (Google) sont issus de projets entamés hors tâche.

Google n’est pas la seule à pratiquer la « relaxation » au travail. 3M fut la première à le faire. Et une kyrielle d’autres ont suivi.

La recherche a démontré, que les pauses, au travail, évitent le « breakdown mental ». Il y a désactivation/réactivation de la vigilance, ce qui épargne non seulement l’épuisement physique, mais renforce la capacité cognitive du sujet et augmente sa productivité.

Or, nombre d’entreprises estiment encore, que les pauses sont des « pertes sèches » sur opérations. Alors, que le stress continu, par l’attention interrompue, institue la fatigue physique et mentale chez le sujet. Et il en découle non pas plus, mais moins de productivité au travail.

Votre entreprise « pause » ou « impose » ?

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