Les entreprises ont le tort de «décider» ce qui est bon pour leurs clients.
C’est au client, qu’il revient de définir ce qui lui convient. Sans offre, il ne peut savoir ce qui est accessible. Mais ce n’est pas la valeur présumée de l’offre qui fait le client; mais les valeurs confirmées par cette dernière.
Les valeurs ne sont pas à confondre avec la « valeur ». Le client n’a rien à cirer du « profit » de l’entreprise. Il veut répondre à une attente de mieux-être social, par la consommation (transaction) d’un bien ou d’un service économique.
Ce sont les valeurs sociales qui engendrent, dans le marché offrant-requérant, la valeur économique des choses. Pas l’inverse, comme l’imaginent trop souvent des dirigeants d’entreprise, qui ont le nez collé sur l’état financier, quand il s’agit de répondre à la demande-client.
La mission implicite de création (satisfaction) du client tient des attentes en valeurs de ce dernier, et non pas de la valeur financière de l’entreprise.
Seule la perception du client compte. La perception de l’offrant doit être à la remorque de celle du client, et non pas le contraire.
C’est en ces termes, que le client a raison, et que l’entreprise n’aura raison que dans la mesure de celle du client.
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