L’entreprise doit optimiser trois choses : 1) personnes; 2) management; 3) partage.

Les personnes veulent s’actualiser.

Le management doit agir sur l’engagement des personnes.

Le partage concerne le risque, l’effort et les retombées de l’activité et des affaires de l’entreprise.

Le mindset de croissance (savoir-être) des acteurs doit être stimulé. Le management doit permettre l’expression du savoir-faire, par l’autonomie à la tâche. Les savoirs doivent circuler, pour que l’agir ensemble exerce un pouvoir multiplicateur.

Les variables à mesurer sont : 1) transparence de la gouvernance; 2) décentralisation du pouvoir de décisions; 3) reconnaissance des apports; 4) éthique d’entreprise; 5) équité de traitement de chacun; 6) imputabilité de chacun.

La performance n’est pas le résultat d’exercice. Elle est la trajectoire d’amélioration des modes, méthodes et pratiques de l’entreprise. Et elle s’apprécie sur le cycle entier de vie de celle-ci.

Les besoins de l’humain c’est bien. Les états de l’entreprise, qui en tiennent compte, et qui ajoutent à ceux-là les dimensions partenariales de l’activité assumée ensemble, c’est mieux.

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