La loi de Hirsch énonce que plus une société est riche, qui satisfait les besoins de base de la population, plus les gens seront en quête active de satisfactions rares.

On peut faire une application du précepte à l’entreprise.

Plus le contexte du travail et plus les conditions générales d’exécution de la tâche combleront les besoins de base, plus le personnel sera en quête de facteurs de satisfaction à qualité supérieure.

Ce que l’exemple des dirigeants d’entreprise illustre sans l’ombre d’un doute.

Et ce que récusent ces mêmes dirigeants, lorsqu’il s’agit du personnel.

Ce que l’entreprise first-in-class a compris, et que les entreprises-types n’arrivent pas à enregistrer, c’est que l’amélioration des modes, méthodes et pratiques de gestion du travail n’a pas de niveau fixe qui en plafonne l’évolution au chapitre de la satisfaction en emploi.

Or, la masse des entreprises ne révisent jamais leurs modes, méthodes et pratiques de gestion comme tels. Elles innovent en biens et services d’offre, mais jamais en contexte et conditions d’emploi. La stagnation suit l’insatisfaction que cela entraîne. Pas sorcier à comprendre.

Pourtant…

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