La recherche a établi, depuis longtemps, que le monopole tuait l’innovation. Le défaut de concurrence provoque l’imposition, par l’entreprise, de ses conditions d’offre au client.
Le monopole tend vers la régression sur l’activité et les affaires, en termes d’innovation.
Depuis 1599, toutes les entreprises n’ont jamais visé que la monopole du marché. Elles n’ont que faire de la concurrence. Celle qui provoque les fluctuations de la demande, par l’offre substitut.
C’est une erreur de penser que les entreprises tendent volontairement vers le changement. Elles tendent vers le profit maximal, ce qui implique la réduction des dépenses (complètement, si la chose était possible).
Cela explique, l’approche du management des entreprises, marquée au coin de la réduction des charges d’exploitation, et non de l’investissement en R & D.
Dieu merci, l’élévation du niveau des connaissances, l’instantanéité des communications et l’émergence de l’intelligence artificielle font que les voies de l’innovation vont s’élargir au lieu de se rétrécir. Moins en production, qu’en distribution. Les machines vont prendre entièrement charge de la première. Les humains de la seconde.
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