Les entreprises s’engoncent souvent dans des « ornières », et n’arrivent plus à s’en sortir, même quand l’environnement les force à le faire.
L’identité propre, in L’intelligification de l’entreprise : Ou l’humain comme centre de l’attention, est définie comme un cadre de référence global de différenciation par les 3 savoirs (savoirs/connaissances; savoir-faire; savoir-être).
Sears a été une entreprise qui a perdu le « sens d’elle-même ». Elle est allée d’un extrême à l’autre, en quête de « qui elle sert ». L’objet (raison d’être ou mission) est de créer le client (donc satisfaire sa demande).
Ce qui exige d’identifier le client, sa demande et ses attentes. Ce que nombre d’entreprises ne font pas, qui décident « de ce qui est bon pour le client ».
C’est la « crise de l’identité propre ». Celle qui remet en cause modes, méthodes et pratiques de management, et plus encore le choix du modèle d’affaires.
L’entreprise se perd en changements plus ou moins radicaux, plus ou moins inappropriés et plus ou moins profitables.
Le problème n’est pas dans le marché, mais dans l’entreprise (Zook et Allen, 2016). En d’autres mots, dans la tête des dirigeants et non dans celle du personnel ou du client.
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