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La courbe du bien-être et de l’engagement

Stone et son équipe (2010), laquelle incluait Deaton (Nobel, 2015), ont interviewé 340 000 personnes au sujet de leur niveau de bien-être (0 à 10).

Les gens entre 20 et 30 ans étaient raisonnablement heureux.

Entre 40 et 50 passablement moins, et les plus de 55 plus heureux.

Le creux se situait à 52,9 ans (USA).

La courbe en « U » a été confirmée par Blanchflower et Oswald (2008), auprès de 500 000 Américains et Européens. Elle valait autant pour les hommes que pour les femmes. Mieux, on a constaté le même phénomène, en bien-être ET en satisfaction à vie, dans 72 pays, de l’Albanie à l’Argentine et de l’Ouzbékistan au Zimbabwe.

Or, lorsqu’on compare le bien-être et le niveau d’engagement au travail (Harris, 2017), on constate que les deux courbes se suivent sensiblement. Bien sûr, tout dépendra du moment d’entrée en fonction de la personne. Tout le monde ne reste pas collé 35 ans chez le même employeur.

Peut-être serait-il temps de penser, que la diversité d’âges au travail compte ? Si, bien sûr, on prend pour acquis que le niveau d’engagement à la tâche a une incidence marquée sur le résultat des opérations en entreprise.

Votre entreprise « est attentive » ou « inattentive » à la diversité d’âges en emploi ?

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