La confiance dans les autres n’est pas conditionnelle.
Cependant, elle est accordée après jugement sur eux. Sur leur authenticité d’être… leur dignité.
Plus les personnes sont éloignées du sujet qui l’accorde, plus il devient difficile à celui-ci de juger de leur qualité d’être.
Il peut être plus facile d’accorder sa confiance aux collègues d’une même unité de travail, voire à un superviseur immédiat qu’à un dirigeant éloigné dans le milieu du travail.
Il existe un point de flexion (rupture), dans l’échelle d’appréciation de la valeur (authenticité) d’être des autres.
Nul ne consent sa confiance à ceux qu’il ne rencontre pas.
La « confiance » dans ceux qui sont trop éloignés de soi, pour porter un jugement valable sur leur qualité d’être, ne peut que tenir d’une attitude veule (molle) des personnes.
Sans être conditionnelle, la confiance n’est jamais accordée que de manière bona fide, parce que personne ne peut l’imposer.
Et l’escompter, lorsqu’on est trop loin de sa source, supposera une attitude veule chez qui l’aurait consentie.
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Les post sont d’analyse sommaire ; les ouvrages de l’auteur de profondeur de recherche.
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