Le meilleur management qui soit, c’est encore celui de soi-même.
Trop de gens gèrent l’indifférence, alors qu’il faudrait gérer la différence pour marquer le marché.
Il y a ce que les gens ne reconnaissent pas.
Il y a ce que personne ne leur a dit.
Il y a ce qu’ils savent et ce que les autres leur ont dit et qu’ils refusent de changer.
Or, l’intelligification de l’entreprise passe par l’humanisation de celle-ci. Ce qui imposera la confiance dans l’espace-temps de réalisation de soi qu’est l’entreprise par destination.
Ce que le milieu du travail présente comme carence majeure, ce n’est pas le défaut de technologies ou l’absence de compétences. C’est la pénurie d’intelligence à transiger avec les humains.
Tout y gravite autour de la valeur, alors que tout devrait y vibrer en valeurs.
La valeur-profit n’a de valeur ajoutée aux opérations, que si les valeurs-personnes ne lui donnent sa valeur d’échange et sa valeur d’usage.
La conscience de soi en entreprise, c’est avant tout la prégnance de l’humain sur le technologique et sur le financier.
Ce que nombre de dirigeants ne semble pas avoir compris.
Parce qu’ils n’ont pas conscience des autres, et que les autres les incluent.
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Une trame d’idées fondées sur le précepte du « management de l’autrement ».