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Inspirer et non respirer

Adlai Stevenson disait: la flatterie est acceptable jusqu’à ce qu’on l’inhale. Il en est de même du management. La prescription suivie (son approche du management) donne très (trop) souvent lieu à des effets iatrogéniques. L’entreprise ne se trouve pas soulagée de ses maux, mais pire dans sa condition. L’erreur la plus courante, c’est celle de l’absence d’une théorie de l’identité propre. D’une structure de pensée managériale qui donnera prise à une personnalité différenciée de l’entreprise par la gestion de son activité et de ses affaires. Au lieu de trouver SA voie, l’entreprise-type copie les autres. Elle pratique le “benchmarking”, en invoquant qu’elle adapte les pratiques importées à son état. Rien n’existe, qui démontre que cela fonctionne. La recherche indique, que la vraie voie de la différenciation n’est pas dans l’ajustement depuis la formule des autres, mais dans l’innovation depuis sa réflexion. L’inspiration doit venir de sa conviction intime de changer, et non pas de l’application d’une pseudo recette magique trouvée au hasard des circonstances.

Lisez mieux et dotez-vous d’une théorie de l’identité propre.

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