Il n’y a pas de « réingénierie » de la confiance dans l’entreprise, parce qu’elle ne ressortit pas des processus administratifs mais de la volonté d’être, d’avoir et d’agir autrement des personnes.

La confiance est comme un pendule à mouvement perpétuel, qui donnerait l’heure juste dans l’entreprise. Une fois amorcé, il ne peut être rendu aléatoire, mais uniquement annulé^[i].

La confiance, sous ce rapport, devra naviguer entre deux extrêmes de condition d’être dans l’entreprise, le donnant et le recevant.

Et à chaque pôle de sa trajectoire, le mouvement du pendule de la confiance dans l’entreprise se renversera, qui permettra au sens de l’équité dans le traitement de l’autre de s’accomplir, le donnant devenant le recevant et le recevant devenant le donnant de l’autre.

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Mieux définir le management, pour mieux comprendre l’entreprise, c’est s’assurer d’un rendu supérieur sur la tâche assignée en entreprise, parce que cela fera appel à l’intelligification, à l’humanisation et à la confiance répartie dans l’ensemble du milieu du travail où vous voudrez vous réaliser au mieux vous-même.

[i] Et si l’horloge arrêtée à encore raison deux fois par jour, la confiance arrêtée sur mouvement dans l’entreprise a tort tout le temps.