Pfeffer (1992) signale, avec justesse, que le personnel est devenu la plus importante source d’avantage concurrentiel de l’entreprise.
Welch (1993) a, pour sa part, dit : «… toute entreprise doit trouver moyen d’engager l’esprit de chacun de ses employés…»
Ce qui suppose, qu’il y aura un passage du «management de conformité» au «management d’actualisation».
Le salaire, les bonus et les commissions, sans oublier les avantages sociaux, ne sont que des facteurs d’hygiène (Herzberg, 1959).
La culture, le climat, comme le contexte du travail et les conditions générales d’exécution de la tâche, sont des facteurs de motivation.
Les facteurs d’hygiène reposent sur l’acquiescement obligé des acteurs-preneurs à l’activité et aux affaires de l’entreprise.
Les facteurs de motivation requièrent l’engagement à la tâche que suscite la passion d’un travail signifiant, exigeant et valorisé.
Le travail, contrairement à ce que nombre d’entreprises pratiquent, n’est pas un contrat économique entre direction et personnel. Le travail est un contrat social entre partenaires de risque, d’effort et de partage du fruit de l’activité et des affaires de l’entreprise.
Chez vous, on «économise» ou on «socialise» dans le bon sens des choses?
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