Les indicateurs de mesure de la performance, en entreprise, sont généralement ceux concernant les variables d’ajout au rendement sur l’activité et les affaires.
C’est tout comme une panoplie de justificatifs des politiques courantes de gestion de l’entreprise.
Or, l’entreprise, en résultat (exercice) comme en performance (cycle de vie), est un net d’opération : + positif – négatif = net du management.
Pour élever le rendement, l’entreprise doit augmenter le positif ou réduire le négatif.
Lorsque le positif est au maximum, il n’est rien de plus à ajouter.
Les ressources engagées, dans l’activité et les affaires, ne peuvent excéder leur plein potentiel.
Il demeure donc le redressement du négatif.
Or, la direction des entreprises a horreur des mauvaises nouvelles. Elle préfère terrer les erreurs, que d’en prendre conscience.
Ce qui risque de s’élever le plus, dans l’entreprise, ce sont les variables qui, présentement, sont au point minimum (voire mort).
Adopter des indicateurs de suivi des dysfonctionnements est sans doute l’intelligence qui manque le plus aux entreprises… qui s’imaginent être au top de leur condition!
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