Le meilleur moyen de stimuler le personnel en entreprise, c’est de créer un contexte du travail et des conditions d’exécution de la tâche qui permettront l’actualisation d’un chacun. Le personnel ne peut être déclaré le « premier capital », et être déprécié dans sa contribution à l’activité et aux affaires de l’entreprise. Le malheur, c’est que l’entreprise-type le tient pour une dépense, alors qu’il est, plus que le capital financier, l’instrument même de sa capitalisation supérieure en activité et en affaires. Au lieu de le contrôler, et de le surveiller, mieux vaudrait le stimuler par des innovations… managériales. La transparence dans la gouvernance, la décentralisation du pouvoir de décision, la reconnaissance des apports au résultat et à la performance, comme l’éthique, l’équité et l’imputabilité sont des facteurs de considération de l’autre (de la part de la direction) qu’est le personnel. Ajoutez la participation au profit, à l’actionnariat et aux avantages sociaux, et vous aurez complété le cycle des déclencheurs d’intéressement supérieur à la tâche dans l’entreprise-type. Inutile de chercher de midi à quatorze heures des recettes préfabriquées !
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