Les énoncés de vision, mission et valeurs sont des référents d’identité propre de l’entreprise.
Ils formulent « l’intelligence de l’entreprise », par l’activité et les affaires.
Ils situent, dans le discours public, l’entreprise, en lui conférant une dimension d’état distinct.
Une majorité est mal foutue. Ils n’énoncent pas ce qu’ils doivent; ils restituent des aspects techniques de gestion (performance), financiers d’opération (profit) ou généraux de marché (segment).
La vision énonce le rêve d’apport à la communauté humaine. La mission, l’activité comme service utile. Les valeurs, les engagements envers les parties prenantes.
L’entreprise, qui ne sait pas se définir, ne peut pas définir ceux qu’elle doit servir.
Aussi, se sert-elle d’eux, en poursuivant, sous des énoncés bienveillants, « le profit ». Or, elle a mandat implicite de satisfaction (création) du client.
Le profit vient de la création (satisfaction) du client. Pas l’inverse ! Dur de « comprenure » (québécisme) pour certains dirigeants !
Et nul n’a prétendu, que le profit était malvenu. Il doit venir du service-marché supérieur de l’entreprise.
Le service est la priorité. Duquel découle le profit. L’inverse, c’est l’idiotie de Welch.
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