La confiance se définit par des dimensions personnelles (attribuées) et par des dimensions sociales (partagées).
La confiance est une nécessité d’être, pour qui veut contribuer au mieux-être des autres. Elle suppose une interface avec les autres. En cela, est repose sur un principe sociétal, qui commande un système de référencement commun à des valeurs qui la rendent possible.
La confiance est également un état recherché de stabilité émotive du sujet. Les valeurs convenues par la communauté la rendre mesurable. Elle sert une fin utile, en ce qu’elle contribue à la confirmation par chacun de ce qu’il apport à la communauté. En cela, elle est une sécurité, par la valeur ajoutée à la communauté qu’elle permet.
La confiance est donc un rapport d’état interprété par les autres. L’affirmer ne confirme rien. Les prétentions peuvent toujours distordre la réalité d’un chacun. C’est par comparaison, que l’on est confiant et digne de la confiance des autres.
En somme, la confiance est un mieux-être d’état, que valide le rapport avec les autres. Et sans confiance en soi, et donc sans celle accordée aux autres, il n’est pas de communauté de principe qui justifie qu’on l’établisse dans les faits.
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En entreprise, très particulièrement, tout le monde, à commencer par les dirigeants, s’attend à la confiance des autres à son égard. Or, savoir de quoi retourne la confiance dans l’entreprise aiderait à mieux situer les zones de carence éprouvante à son sujet.
La confiance dans l’entreprise : Ou l’agir ensemble gagnant permet d’approfondir plus encore cette notion fondamentale au vivre ensemble réussi en milieu du travail. L’entreprise qui comprend mal le sens de la confiance dans l’autre ne peut prétendre, au terme de son exercice, avoir optimisé son effort de rendement supérieur sur l’activité et les affaires menées.
Lisez sur la confiance et ajoutez à votre carquois d’idées en la matière.