Les données ne mentent pas. Mais ceux qui en usent, oui !
Mark Twain ou Benjamin Disraeli a dit : « lies, dam lies, and statistics ».
En fait, les données, sans interprétation, sont de purs faits.
Ce qui donne du sens aux statistiques, c’est justement leur organisation. Tout le monde sait, qu’en comptabilité, les chiffres (données) peuvent dire ce qu’on veut qu’ils disent.
En management, les faits sont ce qu’on dit qu’ils sont.
Or, l’intelligence artificielle va rendre les interprétations fausses plus difficiles. Elle n’aura d’utilité, que si et seulement si les données sont traitées pour ce qu’elles valent vraiment.
La transparence forcée en découlera, qui rendra la direction de l’entreprise plus intègre. À moins, bien sûr, que la direction ne farcisse les logiciels de données truquées dès le départ. Ce qui n’est pas invraisemblable.
Mais les machines, pour fonctionner utilement, vont devoir traiter les vraies données dans leur vrai sens.
Sans doute, que l’entreprise n’aura plus besoin de s’encombrer de dirigeants.
L’entreprise-robot prendra la relève, et chacun s’en portera mieux. Sauf, bien sûr si les machines imposent leur dictature !
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