Le cube de Necker (1832) est un dessin d’arêtes. Nous voyons un cube, mais en réalité il n’y a qu’une illustration à 2 dimensions en 12 lignes. Nous voyons quelque chose qui n’est pas là.
Richard Gregory (1923-2010) dit que «Ces figures importent dans la mesure où elles montrent le caractère dynamique de la perception et la recherche d’hypothèses, quant aux objets qui pourraient ou non être présents dans le monde extérieur.»
En entreprise, on a souvent l’impression d’une vision double. On pourrait aborder les choses de différentes manières, et avoir le sentiment d’avoir disposé de leur réalité.
L’humain ne peut tout inclure dans son évaluation des choses (rationalité limitée), son environnement comprenant plus qu’il ne peut traiter. Ce qui impose, qu’il portera attention à la dimension qu’il maîtrisera le mieux.
L’erreur serait d’imaginer que les autres aient disparues.
En somme, il importera de revenir sur les « alternatives » de perception, de sorte que le « central » ne devienne pas le «périphérique»… et vice versa.
Manager, c’est assumer le risque de ses décisions, lesquelles ne sont pas justifiées de ne porter que sur ce qui retient notre attention première.
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