Le programme proposé donnera lieu à l’émergence d’une communauté d’engagement assurant l’émergence d’une entreprise gagnante.

Une entreprise gagnante est celle qui, à force de changements au chapitre de la gestion de ses valeurs d’expression de l’identité propre, occupera un rang-marché dans le premier décile de son secteur d’activité et d’affaires.

La communauté d’engagement se fonde sur une philosophie du management davantage axée sur le réflexe (cerveau inconscient) que sur la cognition (cerveau conscient). En somme, sur des habitudes nouvellement ancrées, au niveau des acteurs pris collectivement, qui soient plus immédiatement propices à l’affirmation des valeurs sur lesquelles reposent la satisfaction, la motivation et l’engagement au travail.

En agissant directement sur les éléments du contexte du travail et sur les conditions générales d’exécution de la tâche, le programme proposé aura pour effet de provoquer le changement du comportement des acteurs-preneurs à l’activité et aux affaires de l’entreprise. De fait, les comportements de ceux-ci sont dictés par les contours dudit contexte et desdites conditions. Aussi, les réactions, qu’induiront ces derniers, permettront-elles aux personnes concernées d’intérioriser des automatismes de comportement plus favorables à l’économie de l’effort pour rendre la tâche qui leur aura été assignée et, ce faisant, plus favorables au relèvement parallèle du rendement sur l’activité et les affaires de l’entreprise elle-même.

Somme toute, il s’agit, à compter de changements marqués du comportement des acteurs, de rendre l’étrange familier (celui des variables de réforme du cadre de référence du management de l’entreprise) et de rendre tout à la fois familier l’étrange (les données altérées du contexte du travail et des conditions générales d’exécution de la tâche). À cet égard, écouter le silence social voudra dire entendre plus nettement ce qui, antérieurement, ne l’aura pas suffisamment été, à savoir que les critiques relatives aux malaises au travail auront cédé la place à la satisfaction en emploi. Et puisque celle-ci engendre une motivation supérieure à la tâche, l’engagement au travail, soit l’action liée à l’accomplissement des mandats personnels de chacun, aura l’effet d’augmenter plus largement les innovations donnant prise à un rendement supérieur sur l’activité et les affaires de l’entreprise.

Les variables sur lesquelles porte le programme agissent donc sur le contexte du travail et sur les conditions générales d’exécution de la tâche. Ce qui provoque des changements de comportement de la part des acteurs-preneurs à l’activité et aux affaires de l’entreprise. Et ces premiers, en devenant des automatismes, sont récurrents et porteurs d’apports supérieurs au résultat d’exercice et à la performance sur cycle de vie entier de l’entreprise.