Nulle entreprise n’est éternelle. Certaines durent plus longtemps que d’autres. Rares sont celles qui « s’éternisent » dans le marché. La raison est simple : la vaste majorité ne sait pas s’ajuster à temps aux impératifs de changement de la demande exprimée. Les modes, méthodes et pratiques de gestion de l’activité s’enlisent, bien que les technologies permettent des avancées sur le produit d’offre. Mais l’esprit se fige. La culture se fixe. La vision s’obscurcit. La mission s’enraie. Les valeurs faillent. Les objectifs ratent. Le résultat d’exercice, pire encore la performance sur cycle de vie entier, recule. Et dire, que la direction se targue, elle, d’être concurrentielle. En fait, elle l’est. En supplément d’émoluments. Quant au rendement optimal sur l’activité… faudra creuser profond et longtemps. L’opacité de la gouvernance. La centralisation du pouvoir. La non-reconnaissance de l’apport des autres. L’éthique écorchée. L’équité à deux poids deux mesures. L’imputabilité localisée en bas, exonérée en haut. Tout y passe ! Pas chez soi, bien sûr. Chez les autres, toujours. Or, 91 % des entreprises répondent à ce profil désolant.
Vous vous morfondez dans une entreprise sans envergure ?
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