Le management est une valse à deux temps : a) l’externe; 2) l’interne.
La fin est dans le marché. Le management impose le positionnement de l’entreprise (mode de service-client). Ce qui suivra les changements dans l’environnement. Savoir composer avec les forces qui transcendent le marché veut dire savoir adopter sa stratégie et ajuster sa structure.
L’entreprise doit intéresser, retenir et promouvoir les « meilleures » personnes. Et donc juger des gens correctement. Mieux, elle doit composer des équipes de travail compétentes, dédiées et coordonnées. Les objectifs suivront. Insignifiants, ils décevront. Irréalistes, ils démobiliseront. Les BHAG’s (Collins et Porras, 1994) sont à l’honneur.
Enfin, elle doit prioriser décisions, actes et projets.
L’équilibre est instable, en ce que l’incertitude et la complexité du marché rendent ineptes les prévisions. Ce qui ne suggère pas la non-préparation mentale (mindset, Dweck, 2006).
Finalement, le management est une disposition d’esprit. Or, les humains ont tendance à s’encrouter dans des formules arrêtées. Ce qui explique, que les entreprises, le plus souvent, « s’ajustent » plus qu’elles ne « changent » en prévenant.
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