L’entreprise, bien gérée, repose sur l’effort conjoint des acteurs-preneurs à l’activité et aux affaires (pour l’exécution réussie du travail). Elle suppose le partage des avantages (pour l’engagement requis en vue du dépassement du rendement). Enfin, elle est un exercice de risque assumé par chacun (pour assurer la justice sociale dans l’ensemble du corps d’emplois – direction et personnel compris).
Si on analyse les faits, les dirigeants placent le partage en premier, le risque en deuxième et l’effort en dernier.
Le personnel, qui vit le risque en premier, doit dégager l’effort commandé et se contenter du « partage » restant.
Il n’y pas là qu’une seule entité, parfaitement désalignée à l’égard des trois facteurs de réconciliation des intérêts des parties prenantes à l’activité et aux affaires de l’entreprise. En fait, il y a là 3 échecs en parallèle.
L’échec de la gestion. L’échec de l’activité. L’échec de la satisfaction.
Comment voulez-vous « performer », avec une « main perdante », d’entrée de jeu ?
Même les meilleures pratiques, importées des meilleures entreprises, ne suffiront pas à rendre « performantes » les entreprises mal foutues à tous égards en matière de principes premiers de management.
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