L’entreprise, pour se classer parmi les premières de rang, doit gérer 3 marchés distincts bien qu’interdépendants.
Le personnel d’abord. Parce qu’il fait le pont entre la production et la distribution, par la relation-client.
Le client, ensuite. Parce qu’il consomme les biens et services de l’entreprise, et rend possible son profit.
L’actionnaire, en dernier. Parce que son investissement n’est rien d’autre qu’une transaction de rentabilisation d’avoir propre.
Sans personnel et sans client, l’entreprise n’existe pas. Mais elle peut exister, sans actionnaire. L’entreprise pourrait être à but non lucratif (ce qui ne suggère pas l’élision du surplus, mais sa redistribution entière sous une forme ou sous une autre).
Dans l’entreprise-type, où le cul par-dessus tête est la marque de commerce, on place l’actionnaire en premier, le client en deuxième et le personnel en dernier.
Rien n’est plus illogique, comme régime de management. Pourtant, c’est sous telle enseigne, que la vaste majorité des entreprises fonctionnent. Pas étonnant, que leur taux de rendement soit archi décevant.
L’entreprise, qui gère dans l’ordre des contributions au résultat supérieur, respecte la séquence précitée.
C’est le cas dans votre entreprise?
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