Le nombre de revues qui ont disparu depuis 40 ans est impressionnant.
Il en est de même des journaux.
Tout est question d’adaptabilité aux valeurs du temps.
Or, la société actuelle est en perte quasi-totale de repères en la matière. Sauf en ce qui concerne les renvois à l’économie. Et l’économie, qui est basée sur la valeur marchande, n’est pas d’abord arrimée aux valeurs d’humanité des nations.
Les entreprises donnent dans la quête irrémédiable du profit, comprise comme moyen de domination des autres, et non comme facteur d’amélioration de la condition d’un chacun.
Tout le monde veut flouer tout le monde, et éviter de l’être. Une quadrature du cercle, que certains pensent avoir réussie. Le problème, c’est qu’à multiplier la pratique, on finit par avoir une société du « tout pour soi et rien pour les autres ». Et tous escomptent être les « chanceux du temps final », parce que tous se surestiment et sous-estiment les autres.
L’humanité n’est pas une entreprise à profit, mais un bienfait de la nature. Et l’humain ne dispose que d’une seule nature. Celle qu’il met en péril (écologiquement parlant), chaque fois qu’il entreprend d’exploiter l’avenir des autres.
Vous en pensez quoi ?
Likez, commentez, partagez.
Lisez les Livres suggérés sous l’onglet OUVRAGES du présent site ?
Vous y trouverez des idées pas comme les autres.
Une trame d’idées fondées sur le précepte du « management de l’autrement ».