« Lunch is for wimps », dixit Gordon Gekko (1980).

Une étude (800 travailleurs/ TI, éducation et médias, 2016) a démontré, que ceux qui prennent régulièrement leur lunch au travail gèrent moins bien leur stress que les autres. Mieux, ils démontrent une moins grande vigueur à la tâche.

Le site saddesklunch.com fait état de 62 % des travailleurs américains bouffant leur lunch au travail (une donnée que l’on peut remettre en cause, mais qui renvoie à une problématique certaine).

Le lunch, hors du lieu de travail, est une source de reconditionnement de l’esprit et de restauration du corps qui contribue au mieux-être de la personne.

Particulièrement pour les personnes exécutant un travail émotivement et cognitivement exigeant (Sianoja, 2016).

Les dimensions principales sont le détachement physique et l’autonomie psychologique.

La liberté d’utiliser son temps de lunch à volonté comme ce que l’on fait durant son lunch semblent avoir une incidence sur le comportement des travailleurs (Trougakos, 2014).

Nombre d’employeurs pourvoient leur personnel en espaces dégagés du travail, pour leur temps de repas et pauses. Ce qui ragaillardit les gens qui en profitent (Rhee et Kim, 2016).

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