Travailler longtemps fait perdre de vue son but, par « habituation ». Les pauses aident à recentrer l’attention et l’engagement au travail (Ariga et Lleras, 2011). Et celles fréquentes, même courtes (Zacher, Brailsford et Parker, 2014), valent mieux que les occasionnelles (Hunter et Wu 2016). C’est le cas, pour 10 % des plus efficients à la tâche.
5 minutes de marche énergise et améliore l’humeur. Ces « micro-interruptions » sont plus efficaces que 30 minutes. Elles brisent la routine (Bergouignan, 2016). Ce qui boost la motivation, la compréhension et la créativité (Wu, 2015).
Parler avec des collègues d’autre chose que le travail réduit le stress et améliore la capacité cognitive (Kim, Park et Niu, 2016).
Être près des arbres, des plantes, d’une rivière agit sur le mental (Barton et Pretty, 2010). On est plus heureux à l’extérieur (Nisbet et Zalenski, 2011).
La recherche démontre, que 99 % des humains ne sont pas « multitâches ».
Or, lors de pauses, certains voudraient combiner « cessation » et « continuation » du travail, en en discutant.
Le détachement psychologique, comme physique, importe (Sianoja, 2016). Ce qui évite l’exténuation émotionnelle (Rhee et Kim, 2016).
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